Né le 2 novembre 1889 à La Guerche (Indre-et-Loire).
Père : Louis, Stanislas Petit.
Mère : Adrienne Petit.
Marié à Marie-Fernande Faivre, née à Grosbreuil.
Une fille : Jacqueline et une fille de cœur Jeanne Marie,
sa nièce, pupille de la nation.
Domicilié 68 rue Jean-Jaurès aux Sables d’Olonne.
Profession : vulcanisateur.
Décédé à Grosbreuil (Vendée) le 6 février 1944.
Jacques Petit vient en Vendée faire son apprentissage avec les Compagnons du Tour de France. Il y rencontre sa future épouse. Pendant la Première Guerre mondiale, il est mobilisé jusqu‘en 1919. À son retour, il se marie et reprend l’atelier de vulcanisation tenu par son beau-frère, Arthur Faivre, avenue Jean-Jaurès aux Sables d’Olonne. Il est selon Jean Huguet une « figure du quartier de la gare ». Révolté par l’Occupation allemande, il a toujours sur lui un drapeau français. Actif avec son groupe de copains, il est probablement repéré par la Gestapo. Le 6 février 1944, alors qu’il se trouve à Grosbreuil pour raisons familiales, il tient tête à un groupe de soldats allemands. Il est abattu par l’un d’eux dans le bourg de Grosbreuil.
Ses obsèques seront célébrées en l’église Saint-Michel le 11 février 1944.